Il existe une relation indéniable, étiologique, et directe entre la perturbation de la flore intestinale générée par l’alimentation erronée de l’individu concerné, la mauvaise qualité de ses muqueuses intestinales, et le déséquilibre de son immunité, entraînant des troubles de santé somatiques et surtout psychiques. Natasha Campbell McBride nous énoncera clairement l’impact de ce mécanisme physiopathologique sur des syndromes psychiatriques sévères tels que la schizophrénie, l’autisme, la dépression, l’hyperactivité avec déficit d’attention, et la dyslexie ! C’est le syndrome entéropsychologique !